Chats du quartier.
Les empires territoriaux des chats évoluent constamment au gré des guerres félines.
Après le clan des chats blancs, celui des chats noirs, c'est maintenant le tour des chats couleur "fauve" de régner sur le quartier.
Les Japonais persistent à poser ça et là des bouteilles d'eau dans l'espoir de les repousser. C'est vain puisque les chats n'ont pas tous le même comportement face à leur propre reflet (déformé). Ils se fient à l'odeur.
Les mâles circulent régulièrement aux limites de leur territoire et déposent comme borne douanière de petits bronzes nauséabonds (ceux que je balance dans le jardin du voisin)
Depuis que le chaton "chirin-chirin" (appelé ainsi pour le son de sa
clochette) s'est retiré du jardin, il a été remplacé par un gros matou
très autoritaire.
Il surveille constamment son territoire en prenant de l'altitude et refuse tout échange diplomatique avec les humains.
Chaton rencontré à Kariya, partagé entre quémander de la nourriture au passant et lui cracher dessus pour le chasser.
Le vieux matou de la succursale de Chûnichi à Kariya.
Ce chat abandonné a pris possession d'un centre de distribution du journal local, Chûnichi Shimbun. Ici, il dort sur le siège d'un scooter de la société.
En hiver, il s'installe à l'intérieur entre 2 piles de magazines.
C'est lui qui a adopté le lieux et les gens, et il n'est pas farouche.