Shizuoka
Je n’ai pas vraiment beaucoup de souvenirs de la ville. J’avais un père de famille d’accueil qui y travaillait et qui m’avait emmené dans le coin… La ville, bien que très urbanisée, est finalement, assez petite, quand on a connu Nagoya… Elle est même moins habitée que Hamamatsu, autre ville du même département, qui n’est pourtant pas la préfecture…
On est techniquement dans le Tokai. Les Japonais utilisent l’expression “les 3 départements du Tokai”, mais en fonction des gens, on fait référence à des trios différents :
Aichi, Gifu et Shizuoka. Ou bien Aichi, Gifu et Mie.
Historiquement, Shizuoka est bien une ville du Tokai, mais sa proximité en train avec la capitale fait qu’on est quasiment dans l’orbite de Tokyo. Même en autocar, ça ne prend qu’une heure pour aller à Shinjuku…
Hamamatsu par contre est tournée vers Nagoya. Son appartenance à la région du Tokai est plus que justifiée.
A la mairie, il y a un étage qui propose d’observer une vue panoramique de la ville. Je ne me suis pas fait prier.
Le Mont Fuji reste quelque chose d’époustouflant à voir. Même après l’avoir vu et revu.
Torii du sanctuaire Sengen.
Sanctuaire Otoshimioya, faisant partie du complexe du sanctuaire Sengen.
Habituellement, je ne suis pas très impressionné par les sanctuaires Shinto. J’ai une préférence pour les temples bouddhistes. Mais, là, celui-ci était exceptionnel.
Statue de Tokugawa Ieyasu.
J’aime beaucoup l’ambiance de la ville, et finalement, même si j’ai eu l’occasion de venir 2 fois, j’ai eu l’impression de découvrir Shizuoka. Ce qui manque à cette ville, c’est un métro.
Avant de rentrer à Aichi, j’ai fait le plein en thé vert. Shizuoka est renommé pour ses thés.