Sur la route de Sapporo.
Libéré par la douane, j’entre dans la station de train de l’aéroport Chitose et me retrouve face à une rangée de distributeurs de tickets. Il faut un certain temps pour comprendre leur fonctionnement. Leur utilisation n’est pas si complexe : il suffit de situer sur une carte la ville à atteindre et retenir le montant du trajet pour acheter un ticket.
J’entre dans un train vide aux banquettes ajustables (où que l’on s’assoie, on peut se mettre dans le sens du train ! Il fallait y penser !) Après quelques arrêts en rase campagne, le train se remplit rapidement de collégiennes à socquettes blanches. C’est la cohue ! Afin d’éviter de me retrouver bloqué à mon arrêt, je m’extrais avec douleur pour atteindre une extrémité de wagon.
Arrivé à la gare centrale de Sapporo, je tente une sortie avec mes valises pour voir à quoi peut bien ressembler cette ville
Premier constat : il fait méchamment chaud. Pas un jour je n’ai cessé de me plaindre de cette chaleur suffocante…